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Sonnet 041

Quinéville, le soleil éclatant
En ces matins déserts des poètes sous le vent
L’enfant se fait les pieds sur les coquillages
Des kilomètres de sable sans une casquette Ricard
Sans une radio qui braille

Quelques bergeronnettes quelques goélands
Les îles Saint-Marcouf, beauté du scintillement
Les grimaces de l’enfant, la joie du sable
Les coquilles ça fait mal ; ainsi va la vie

Les gosses de Sarcelles ont la leur aussi
Ils sont un peu rebelles et c’est bien du souci

C’est le « Malaise Social »
Peut-être aussi un peu le gris, le bruit, les autres, partout
La folie

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