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Sonnet 161

S’évanouit déjà l’ineptie bureautique
Exclamations des pouffes autour du mâle alpha
La première amarante a traversé mon âme
Poussée par le vent frais qui vient de l’océan

La route me conduit, du bruit vers le sensé
Le désert en capsule restaure les visions
Dans l’onde du colza tourne le puits à vent
Une buse décolle... Du François plus léger

Et voilà la forêt où j’aime imaginer
Les pérégrinations du sanglier nomade
Le frère de mon cousin le maquereau solitaire

Et sorti du bestiaire j’aborde la maison
Comme un papa tout neuf, un mari surpuissant
Le cartable s’envole. Tout le monde est content

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