Je leur fais l’effet du Pedestrian 2
De Jean-Michel Basquiat
On ne sait trop que penser de ce gars là
Avec le sourire jaune sur un fond vermillon
En fait tout le monde s’en fout
Mais c’est indispensable, la paranoïa
Pour la motivation
Quand on a quatorze lignes à écrire
S’agit pas de jouer aux boules
Comme les chômeurs du square Carnot
Il faut marcher dans les rues
Arpenter les visages
Chercher le personnage
Qu’ont vu en vous ceux qui n’y pensent déjà plus
© plinous (commis le lundi 15 novembre 2004 et déjà lu fois !) | contact | ? | tout