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Sonnet 047

Orage
Nouvelle maison
Vue sur le château
Chiottes sans aération

Oh non ! Ça je le retire, il y en a marre
Marre du vulgaire, nique la police et les rappeurs
Un lac, un être qui manque...
Couchées les vagues ! Fini le barouf !
Garde-t-on l’orage ?
Oh, je ne sais plus

Si tout le monde avait la distance !
Et si chacun cultivait son jardin
Il n’y aurait rien à taire
Mais ils tondent leur pelouse en short de foot

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