Rien de tel qu’une balade en Pesticidie
(C’est le Pays de Caux en Normandie)
Pour émulsifier l’ordre cellulaire
Et ressentir des choses peu ordinaires
Au moi de mai joli, le pachaculteur joui
L’aspersion est diluvienne car c’est son blé qu’il aime
Quelques milliers de coups de pédales plus loin…
La mer, pour tout réassembler
Pourville, le but, où pêcher un sonnet
Peut-être un plat
Comme le poisson du cinéaste yougoslave
Une jeune fille nage vers la bouée jaune
Dans le vert, son maillot de bain est rouge
Délire d’yeux, voyelles ; nitrates
© plinous (commis le samedi 15 juin 2002 et déjà lu fois !) | contact | ? | tout