Accueil > Poésie > Leibniz, amour et beauté
La morsure de l’amour perdure nonobstant
Le modus vivendi adopté, et plutôt performant
Côtoyer sa déesse au quotidien, c’est bien
Finalement. Stéphane, qui dansait pour Agnès
La pédagogue assassinée, sans aucun doute
S’en serait contenté ; une présence sans contact
C’est déjà ça ; c’est quelque chose plutôt que rien
Du reste, si tu t’interroges sur le pourquoi
Au-delà du premier cours de philo, la danse
C’était pour ça : faire perdurer quelque chose
Fût-elle réduite à un geste éphémère. J’explique
Alors que tu as très bien compris, car la beauté
Se perçoit tout de suite ; innée dans la conscience
Elle est, comme l’amour, cause du quelque chose
© plinous (commis le samedi 2 mars 2024 et déjà lu fois !) | contact | ? | tout