Accueil > Poésie > Bonheur zaghouanesque
Zaghouan, kilo de kaaks à l’églantine
Ruelles antiques, jeunes filles mutines
Une eau si pure qu’on menait à Carthage
Capucin au café, se sentir sage
Quiet, malgré trois barbus qui éructent
Au coin de la rue, qui peut croire à la chute ?
Tout l’argent du Golf ne suffira pas
Un peuple amène se rit des scélérats
Douz, Kairouan, Sousse, puissantes évocations
Douiret et Tataouine, aux noms les sensations
Mais tout nommer ne fait pas vivre, juste rêver
une salade méchouia, un sourire, à l’arrivée
Il faut faire le voyage, participer
À l’aventure des femmes, des hommes libérés
Vivre la mosaïque au festival d’El Jem
Tel un pêcheur d’Oudna, sentir qu’on aime
© plinous (commis le samedi 4 mai 2013 et déjà lu fois !) | contact | ? | tout