Accueil > Poésie > L’adieu au porc
La blessure de la déesse m’a bouleversé
Tout en me confirmant ce que je savais
Les gens qu’on aime sont exemptés de jugement
On les aimerait encore s’ils mangeaient un enfant
Que faisait-elle avec Pinot ?
Un gros gamos, des biscotos
Les menottes, le calibre, l’autorité
Une figure paternelle, un amant bien membré ?
Comment n’a-t-elle pas vu le psychopathe ?
Dans la maniaquerie et les emportements
Dans les lubies sexuelles qui virent au dégradant ?
Peu importe Déesse, tu as tout mon soutien
Je t’adorais aveugle, je t’adore désillée
Dans le coeur du berger tu ne peux que briller
© plinous (commis le dimanche 23 novembre 2025 et déjà lu fois !) | contact | ? | tout