Elle s’est envolée ma grand-mère
Les peaux-noires ont lancé des signaux de fumée
Le ciel est averti, il n’y a plus rien à faire
Il n’y a plus d’enfer, c’est terminé
Adieu le papillon, ma pauvre prisonnière
Te voilà libre enfin, détachée
Elle était vraiment dure Mme Zheimer
Toujours avec ses invisibles à t’ennuyer
Adieu le pavillon ! sacrée grand-mère !
Sainte Thérèse de la civilité
Les autres, t’en aurais bien fait ton désert
Ils étaient toujours là. Tu n’as plus rien mangé
Je sais bien mamie : "rien d’extraordinaire"
Mais juste ça pour moi : tu m’as élevé
© plinous (commis le dimanche 2 avril 2006 et déjà lu fois !) | contact | ? | tout