Et voilà qu’apparaît la cité de l’abeille
Ephèse ô désirée ! Les antiques merveilles...
Comme les grands tourmentés de l’âge romantique
J’éprouve dans les ruines un flash hypodermique
La folie la sagesse, bien avant le progrès
L’humanité en place, l’agora, les décrets
Pouvoir de l’empereur/force démocratique
Aucun combat d’antan, l’homme est l’âne historique
Je suis un universitaire américain
Plus savant que le guide si drôle et si malin
Il me lit sur les pierres la prière à Cybèle
Nie le crime d’Erostrate, fustige une cabale
Et le guide qui déconne avec Héliogabale
Puis c’est le grand théâtre, le miroir éternel
© plinous (commis le dimanche 11 avril 2004 et déjà lu fois !) | contact | ? | tout