Chaque fois que j’écris ce sonnet
Je suis dans le rouge
J’aime la vie, j’aime Dieu
Je vote pour la lumière
Mon écriture pourtant ne bouge
De la peur, je reste prisonnière
Ou négatif ou ironique
Quoique je veuille positiver,
Aider, soutenir, accompagner
Mon style est une bourrique
Qui refuse d’avancer ou ronchonne en marchant
Et flanque un coup de sabot à Roche, en passant
Je voudrais louer l’amour en quelques lignes
Mais les mots font les ânes, ou bien je suis indigne
© plinous (commis le lundi 1er septembre 2003 et déjà lu fois !) | contact | ? | tout