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Sonnet 107

Quand une main nouvelle s’immisce sous l’élastique
Qu’elle saisit l’engin, qu’elle l’agite
C’est une putain de montée d’adrénaline !
Il faut souffler un coup, reprendre ses esprits

Quand s’ouvrent les cuisses étrangères
S’agit de bien le glisser, c’est « l’art et la manière »
L’introduction, ça fait peut-être longtemps que t’as pas géré ?
Du calme, le monde est bien pensé

Quand on a pénétré dans la selve inconnue
Il faut encore se concentrer
Avant la première salve, il convient d’avancer
Là, le malheur du monde est bienvenu

Inutile, néanmoins, d’ahaner de longues heures
La fougue, la première fois, fait partie du bonheur

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