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Sonnet 230

C’est très simple, j’ai envie d’elle
La prendre dans mes bras, que nos lèvres se joignent
Que nos deux corps explosent après cette étincelle
Que nos deux rêves s’empoignent

Je sais, tout ça est très très mal
Ce n’est pourtant pas moi qui ai frotté les pierres
Je bosse le cœur dedans, un collègue très normal
Sympa, pas trop show, fonctionnaire...

J’attends après le mel
Tant d’anamour aussi dans le virtuel !

Et c’est le go ! Deux mots, rien que des idioties
Déjà l’imbrication, le trombone à coulisse
Cavalcade Offenbach hors piste tsunami
Bien mieux que l’armistice, ils se sont endormis

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