12/10/2025
Hé bé voilà, lancement du Journal de je, ce qui revient à dire : retour au blog. Je m’enfonce dans la ringardise, soit, mais j’ai besoin d’un espace d’expression pour de l’écriture à visée non poétique, de la prose c’est ça. Les réseaux sociaux m’ont offert cet espace un moment, en particulier Twitter, mais après le rachat de l’engin par l’ingénieur nazi, j’ai dû fermé mon compte, comme beaucoup. Je suis chez Bluesky depuis mais il n’y a personne et beaucoup de gayporn, ce qui ne me convient pas. Instagram, TikTok, les trucs de mômes, OK si vous voulez vous griller le cerveau à coups de scroll sans fin - tout en nourrissant la Bête (c’est l’IA). Bref : étant entendu qu’on n’est jamais si bien servi que par soi-même, à l’ancienne, sur mon site qui me coûte 20 balles d’hébergement annuel, je vais poser mes trucs à moi.
Alors toi qui tombe là-dessus par hasard, tu vas me dire (dans ta tête) : oui mais on ne peut pas te suivre sur ton machin, tu vas parler à 0 followers... Je te rassure âme égarée, ça a toujours été le cas sur tous les réseaux ; quelques suiveurs, oui, mais pour l’essentiel des gens qui oublient de se désinscrire d’un compte où un jour ils ont vu un petit post marrant, ou je sais pas quoi qui leur a plu sur le coup. Non, vraiment, en termes de likes, reposts, commentaires etc. : le néant, ou le quasi néant si on veut tatillonner. Donc, ce diary en mode revival 90’s fera très bien l’affaire.
Dernière précision pour le titre peut-être : "Journal de je", pourquoi ? Bien parce que ce titre me semble très honnête. Je suis mon objet d’écrivant (sporadique), depuis toujours. J’ai été un temps tenté par "Journal d’un je en liberté" car le fait que si peu d’internautes aient profité du web pour développer leur idiosyncrasie m’a toujours sidéré. Les blogueurs se sont certes beaucoup copiés mais quelques-uns faisaient entendre une voix particulière, et tous devaient créer un minimum, ne serait-ce que leur layout. Les réseaux ont permis de ne plus avoir qu’à éructer et suivre des influenceurs. Et puis ce titre alternatif affichait le mot "liberté", affichage qui semble opportun par les temps qui courent. Mais "Journal de je", c’est mieux, plus clair.
Et dernière précision (oui, j’ai menti, comme souvent) : "coq-à-l’âne". Beaucoup de coq à l’âne dans ce qui va suivre. Je le rappelle : je suis le gros, l’ensemble, l’entièreté de mon lectorat. Je vais écrire pour déposer les pensées de la journée et les retrouver plus tard ; je n’ai aucune raison de chiader la forme et en particulier les transitions. Donc, formellement : mode repository. Quelques phrases si j’ai le temps, mais pas de thème ou de tonalité pour le post du jour. Ce qui vient, point. Et ce sera le plus souvent bref aussi.
*****
Allez, exit l’intro, c’est parti. La préoccupation du moment, ce sont les lignes d’univers. J’essaie cette fois de bien comprendre le concept, ou plus exactement d’essayer d’en obtenir une visualisation. Je regarde les vidéos de ScienceClic - sur le tube bardé de pubs que je ne linke pas : c’est à peu près à ma portée. J’ai les deux premiers vers d’un texte qui devrait citer cette théorie. Or, même si je m’accorde toute liberté en tant que poète (pause rire [...]), je m’en voudrais de tenter un rapprochement ou de faire une métaphore complètement hors de propos. On dispose d’outils de savoir inédits, autant s’efforcer de voir juste, ne serait-ce que par respect pour ceux qui n’avaient que leur géniale intuition pour donner à rêver :
Le temps s’en va, le temps s’en va, ma Dame,
Las le temps ! Non, mais nous nous en allons, [1]
Et sinon, 27 kilomètres du Pont des demoiselles à Castanet avec le cadet pour préparer le marathon du 2 novembre. Beau moment de complicité et d’effort le long d’un canal du midi paré de ses plus belles couleurs. L’automne est la saison toulousaine.
13/10/2025
Je ne peux plus lire le soir, et d’ailleurs assez difficilement dans la journée aussi. Attention, ce n’est pas le trip Mallarmé, j’ai lu tous les livres, chui fatigué. Non, le bouquin me tombe des mains, littéralement. Et la qualité de l’œuvre n’y fait rien, ou sa facilité d’accès. Trois pages et boum (amuse beaucoup ma femme). Alors ça fait des mois que je scrolle un peu sur Insta ou cet éteignoir de Bluesky, avant de nourrir mon anglais avec ce que je peux trouver de moins médiocre sur Netflix (une gageure une fois vus les quatre ou cinq produits d’appels réellement ambitieux). Faire quelque chose de mes soirées fait aussi partie des motivations à l’origine de ce journal.
Alors qu’est-ce que j’ai noté aujourd’hui ? Ah oui, ce bout de lyrics d’un "tube" électro :
The way out is the way in
Just rearrange the things you know, [2]
Cette invitation à se dégager du monde en le réinventant m’a parlé, forcément. Réarranger le réel, c’est la base de tout projet poétique.
Et sinon demain c’est la minute de silence pour les deux professeurs assassinés. Réarranger le réel est une nécessité.
14/10/2025
...Mais cette commémoration doit aussi être l’occasion de rendre hommage à deux personnes, deux personnes qui ont laissé des proches, des amis, deux personnes qui ne se réduisent pas à des symboles. Cette commémoration exprime donc aussi, bien sûr, une solidarité humaniste...
Voilà un extrait de ce que j’ai dit aujourd’hui, devant des gens. Un exemple un peu extrême de ce que peut donner la partie parlante de mon métier. Que je ne dénigre pas, qu’on se comprenne bien. J’illustre, c’est tout.
J’illustre pour qui ? Bonne question puisque j’ai affirmé plus haut que ce journal n’aurait d’autre finalité que de déposer les pensées de la journée pour les retrouver plus tard... Il semble pourtant bien que je m’adresse à une altérité dans le paragraphe ci-dessus. Soit. Doit-on encore redire que toute écriture "autodestinée" attend son lecteur comme la Belle au bois dormant - qu’il ne faut plus embrasser ?
15/10/2025
Sterimar, Pivalone, inhalations... Assez peu disposé à journaler ce soir.
La force et la faiblesse de l’esprit sont mal nommées ; elles ne sont en effet que la bonne ou la mauvaise disposition des organes du corps. [3]
16/10/2025
Prends le temps de courir. [4]
Dont acte ce soir malgré la tête dans le sac et une journée au taf bien remplie, mais constructive (c’est incroyable ce que je peux positiver désormais).
En revanche, erreur de débutant à 21:20 : petit check des mails ; bien sûr : une merde. Un excès de zèle d’une manageuse en l’occurrence, qui me met en porte-à-faux. Le profil : impliquée, bosseuse, sérieuse, mais raide jusqu’à l’injustice, ou disons vindicative avec les tire-au-flancs et autres anarchistes du fonctionnariat (ces gens qui souffrent d’un syndrome "profession libérale"). Certains cadres devraient vraiment prendre un quart d’heure tous les soirs pour écouter un astrophysicien leur parler de multivers, ou un quanticien d’univers parallèles. Histoire de RE-LA-TI-VI-SER !
17/10/2025
Mon dernier texte a fait 8 vues
Force et honneur, je continue
Dont acte. je suis sur mon archive Twitter, téléchargée avant de quitter la version X nazifiée. Je retrouve des bouts de trucs que j’ai pas su étendre pour faire un texte ou pris la peine de coller à d’autres bouts de trucs pour faire un patchwork (compte pour un texte). Exemple :
Tu es dans le vrai, je suis dans le vin
Je suis l’ivraie, toi le regain
Melon coolie, nègre du je enflé
Tu disais quoi, sauveur ? A oublié
Mots clés récurrents : Saturne, solitude, je...
Il y avait ce lien en dessous du quatrain. L’identification de la tête de l’ange du Mellon Collie (Greuze) avait dû m’inspirer...
18/10/2025
Certains jeunes, parmi les plus acharnés à vivre, se rassemblaient furtivement dans ce que les mėdias appelaient des "fêtes sauvages". Le plus souvent, ces happenings se produisaient dans des zones qui rendaient l’intervention des forces de l’ordre délicate.
19/10/2025
J’ai retrouvé cette image dans mon archive Twitter (mais pas le tweet qui allait avec). D’aussi loin que je me souvienne, la beauté des filles puis des femmes a toujours été pour moi sans doute la chose la plus frappante de la vie. Les actrices qui donnent réellement vie à un personnage me laissent une impression durable dont le petit montage ci-dessus voulait certainement témoigner. Si vous n’avez pas les noms en tête, il s’agit de : Lauren Ambrose - Six feet under, Jamie-Lynn Sigler - Les Soprano, Jane Margolis - Breaking Bad, Andrea Riseborough - ZeroZeroZero. Tout petit échantillon évidemment, je ne compte plus les émois causés par les déesses pelliculaires.
20/10/2025
Reparti sur les vidéos de Lachièze-Rey, Klein, Barrau et consorts concernant la question de l’existence du temps, mu par une certaine angoisse relative à l’existence simultanée du passé, du présent et du futur, et plus particulièrement relative à l’idée que les événements du "futur" seraient déjà écrits. Donc qu’il n’y aurait pas de libre arbitre. Donc que nous serions à peu près aussi vivant qu’un caillou dans l’espace.
Au delà de la relativité du temps, désormais bien intégré (tu vas vite, il passe plus lentement, idem si tu es près d’un objet lourd), ça se corse : le passage de la ligne d’univers où chaque événement a quatre coordonnées - ce qui spatialise le temps en quelque sorte - à "tu n’as pas décidé d’habiter cette maison, c’était déjà écrit" (Lachièze-Rey - ou Jacques le fataliste), je n’y arrive pas.
Ce que je pense à ce stade (au 20/10/2025 22H16) : de même que l’espace est là, disponible à toutes les potentialités - je pose mon verre sur le bureau ou par terre, je vais au parc ou au supermarché... - le temps, qui ne s’écoule pas mais dans lequel nous évoluons en sens unique (vers le futur), est un "espace" d’exploration dans lequel nous nous situons en fonction de décisions.
Oui, cet état hic et nunc de ma "pensée" relève certainement beaucoup plus d’un besoin de réconfort que d’une expérience einsteinienne...
21/10/2025
Non, Journal, je ne vais pas te lâcher un "rien", comme Louis XVI. Je me suis engagé, je vais jouer le jeu. Mais bon, de ces journées où le taf commence à 8H et où tu as encore des relectures à faire à 22H, que veux-tu tirer ? Le seul truc qui me vient c’est "j’ai bien bouffé". Deux plateaux télé devant CNN, des œufs, du chorizo, un reste de riz-carottes-coco, tout ça dans la poêle avec du parmesan + saupoudrage de poivre et curcuma pour l’anti-oxydation, deux fois donc, petit dej et dej. Et ce soir, repas civilisé en couple : pâtes chinoises, courgettes, œufs, crevettes épicées, parmesan, curcuma-poivre (beaucoup, de l’ensemble).
Je file à mes relectures.
22/10/2025
Vue à distance, ma vie est comme rétrécie par un phénomène moral. [5]
Ainsi s’exprime le héros dépressif de La Peau de chagrin. Moi j’ai un autre ennemi, phénoménal aussi mais pas du tout moral, et qui rétrécit objectivement ma vie, vue de loin comme de près. Cet ennemi, c’est le travail.
Alors oui, récemment, Canaries, Californie, Canaries, Finlande, Estonie, bientôt Bali. Il a du bon aussi cet ennemi. Mais l’énergie passée sur une réponse à un appel d’offre est perdue pour la créativité. Des semaines que je n’ai pas écrit un vers, et Dieu que je rame pour pondre deux paragraphes dans ce journal !
À ce stade, gare ! il y a danger : l’idée peut s’immiscer que somme toute, certains qui se sont cru l’âme d’un artiste finissent par faire le constat qu’ils se réalisent dans le travail, et qu’entre-nous ils auraient le droit d’être fiers de contribuer à la marche de la société. Attention ! Cette pensée constitue une CAPITULATION !
23/10/2025
Je me suis déclaré incompétent aujourd’hui, à la dernière étape du cadre de réponse technique de l’AO. Il s’agissait d’expliquer les mesures que nous prenions pour limiter l’impact environnemental de notre activité. Tout de suite la question m’a agressé. On fait dans l’enseignement, on n’est pas Total, Lafarge ou Action ! J’ai revu la scène de Gomorra où un patron reçoit un mafieux qui va le débarrasser de ces déchets. L’industriel, qui sait parfaitement à qui il s’adresse, pose des questions sur le devenir de ses ordures, jusqu’au moment où le mafieux pourtant très civil lui fait comprendre que hein ?, c’est bon, on va arrêter, là... J’avais donc envie d’écrire en substance "faites pas chier pour 50 pdf et 10 vidéos en ligne", mais j’ai senti que je m’emballais, j’ai rendu ma copie sans la partie petites fleurs.
Oui, boomer, c’est clair. Le devenir de la planète me soucie, vraiment. Enfin vraiment, jusqu’au moment où j’entends des gens dire qu’ils ont renoncé à tel voyage à cause de l’avion... Là j’ai un blanc, je bloque. Je "oui mais non". Je pourrais me dire, par exemple : "tu n’iras plus courir à Los Angeles". Mais non, je ne le dirai pas, je mentirais.
24/10/2025
"Je suis pas cet esclave qui attend le weekend pour s’enfuir"
Cette phrase a changé ma vie en 2014, merci. [6]
Dixit @HanHuman. En ce qui me concerne, ce motto n’a pas pu terrasser ma lâcheté. Je le déplore tous les vendredi soir.
Sinon, plus positif : à J-8 du marathon, en fin de prépa donc, mentionner ces moments divins : les massages d’ischios prodigués par madame. À eux seuls ils compensent ces trois mois sans vin rouge.
25/10/2025
Belle activité aujourd’hui : changer les joints de la douche. 2 tutos avant, très bien, très clair ; la chose avait l’air très faisable en se donnant du temps et faisant les choses bien. Sur la première partie, soit retirer le vieux joint (peu ragoûtant), OK ; on se donne le temps, on gratte bien, on dégraisse bien, on nettoie bien, on sèche bien, OK. Plus long que dans les tutos mais OK. Puis vient le moment de charger la cartouche sur le pistolet, instant viril, allez ! Et là, caca. Les scotchs de protection retirés, il s’avère qu’il n’y a pas assez de matière, d’où re-pistolet, mais carreaux tâchés, d’où nettoyer, mais en même temps il faut lisser. Le lisseur fait de la merde, au doigt mouillé ça retache les carreaux, d’où réessuyer, mais l’essuyage retire de la matière et puis ça commence à sécher ; les doigts collent, le chiffon colle, le lisseur fait toujours de la merde. Bon, se contenter de nettoyer les carreaux. Laisser sécher, et voir demain s’il faut remettre du joint.
Il y a des hommes - et des femmes bien sûr (#metoo, tu penses bien !) - qui aiment le bricolage. Rien. Je salue l’altérité.
26/10/2025
C’est étonnant quand même cette disparition du monde du journal de 20H, celui qu’on appelait au XXè siècle "la grand-messe". C’est un bulletin météo désormais avec un focus sur la tornade, l’inondation, l’incendie, le crash climatique du jour, suivi de reportages de proximité (le couple machin victime de l’arnaque aux panneaux solaire, Mme Truc et ses murs qui se fissurent...) avant une grande rubrique fait divers. Le monde, l’international, torché en une minute ou tout simplement out. Alors si, il y a encore quelque chose en face de l’info bolloréenne, il y a le journal d’Arte par exemple. Mais là, il faut reconnaître que c’est un peu sévère. Si, quand tu as, entre le Soudan et l’Ukraine, une interview en webcam d’un spécialiste allemand, il faut s’impliquer.
Enfin ce soir, au 20H, on m’a dit de mettre un gilet jaune demain, parce qu’après le changement d’heure il y a presque un tiers d’accidents de vélo en plus entre 17H et 19H. J’exprime ma reconnaissance à la rédaction pour ce conseil. Et puis quand même : le fait d’épargner aux Français le monde et et ses complexités réduit peut-être leur horizon réflexif, mais j’ai lu aujourd’hui dans Le Monde que les forces gouvernementales syriennes avaient dû mener une offensives contre des djihadistes français ! Le silence a peut-être du bon, finalement, parfois.
27/10/2025
J’suis sur un terrain glissant,
T’es sur un glissement de terrain... [7]
J’ai appris un mot anglais aujourd’hui, enfin plus précisément le sens figuré d’un mot : landslide. C’est grâce à Trump qui a félicité son affidé argentin, Milei, pour sa landslide victory, sa victoire écrasante. Nous on fait dans le raz de marée. Les métaphores varient d’une langue à l’autre, c’est aussi ce qui fait le sel de leur apprentissage.
Cette nouvelle victoire d’un libertarien - soit un néo-libéral sans frein, brandisseur de tronçonneuse en l’espèce, oui, c’est une gifle de plus pour les irréductibles de la paix, de l’harmonie et du progrès social. Oui, ça puir de plus en plus. Et oui, en anglais on dit que the shit hits the fan...
28/10/2025
Instagram me pousse des vidéos de coureurs, coaches sportifs et autres diététiciens du sport en grande proportion. Sont quand même solides ces algorithmes. Pourtant je like très peu, je ne republie pas ; la seule attention portée à certains contenus leur suffit. Dans la dernière vidéo vue, un type donne son volume de km/semaine au pic de l’entrainement : 120. Très bien, mais j’ai un travail moi monsieur !
Hier soir, j’ai senti une certaine nervosité chez mon cadet. 42 km, entrainement ou pas, ça reste vertigineux ! Pour ma part je ne ressens aucune pression. Je me suis inscrit pour partager un moment avec lui, advienne que pourra. Et pour lui, c’est aussi l’éternel vertige de la première fois. Moi, j’ai déjà ça :
29/10/2025
C’est pénible les entretiens de recrutement. pénible pour les postulants, évidemment, mais pénible pour le jury aussi, assurément. Quand il s’avère qu’un candidat ne va pas faire l’affaire, il s’agit de naviguer en douceur vers une fin avancée des échanges et ce malgré le trou d’air que tout le monde a ressenti, plus ou moins. Quand un candidat est correct, il faut mener les échanges à terme au cas où on ne trouverait pas mieux, sans laisser transparaitre l’absence d’enthousiasme pourtant palpable. Quand un candidat est super, il faut s’attendre à d
[1] Ronsard, Les Amours, "Je vous envoie un bouquet". Ronsard n’avaient pas eu Einstein pour lui expliquer que le temps ne s’écoule pas mais qu’il est une dimension de l’espace-temps...
[2] Above & Beyond and Justine Suissa, Almost home.
[3] La Rochefoucaud, Maximes.
[4] Un coach sportif.
[5] Balzac, La Peau de chagrin.
[7] Booba, D.U.C.