Odieuse beauté de la quadra ignée
Transpirant l’ève épanouie par tous les pores
Lascivité des formes grasses sous la soie
Lâcher prise assumé dans un port souverain
Collègue et chef, tu es bien mal dans l’été chaud
Avec ses jambes nues, ses hauts light sous tension
Ses micro-perles sur le front, mains qui éventent
Le rire franc de la sudiste ensoleillée
Toi qui dois rester pro aux abords de la bombe
Qui ne peux déserter ni embrasser un sein
Brûlant. De marbre sous le coup de sirocco
Quand les traits sont entrés, que le cœur est atteint
Le volcan réveillé dessous l’écorce vieille
Le serpent tend le fruit mais tu es empêché
© plinous (commis le mercredi 17 juillet 2019 et déjà lu fois !) | contact | ? | tout