Ainsi se consume la vie, se perd le corps
S’abîme l’esprit ou l’inverse peu importe
Des heures les heures the hours dans ce bureau
La cage où se rasent d’ustensiles blaireaux
Mais je les vole ! Oh si peu ! Des minutes des vers
Couper la ligne blanche est un autre travers
Folie des cadres, chers amis, décomposer
Je vois des choses aussi de mes quatorze pieds
Les dents de la pointeuse et la joie des machines
L’extinction des lumières dedans la nuit de Chine
Que je danse avec vous douce bergère Onet ?
Je comprends, il vous faut nettoyer la moquette
Mais quel dérangement ? Je suis déconcentré
Par choix, un faux semblant ; vous pouvez aspirer
© plinous (commis le mardi 10 juin 2003 et déjà lu fois !) | contact | ? | tout