Poris de Abona, Secret Surf School
L’air de janvier, suave et cool
Ailleurs ce sont les bombes, le froid, la peur
Homme : animal qui inflige l’horreur
Sur le sable blanc venu d’Afrique
Les petits résidus de plastique
Dessinent des courbes colorées
L’onde en est pleine qui les a déposés
Le dieu béton est très présent lui aussi
Dans ces immeubles condamnés, dans les débris
D’anciens délires qui forment le remblai
Bouchant les gouffres, pour les terrasses d’après
Oui, le paradis est bien dégradé
Mais il est beau encore, et si sensuel !
Mamelons volcaniques, grasses en liberté
Et la douceur partout, ¡Barraquito!, ron miel
© plinous (commis le mardi 31 janvier 2023 et déjà lu fois !) | contact | ? | tout